«,Bien que marqués par l’issue de cette finale, les joueurs de Robert Herbin acceptent de répondre aux journalistes. «.Le retour, justement, a façonné la légende verte. Ils craquent finalement à sept minutes de la fin du temps réglementaire : servi en profondeur, David Fairclough résiste à Christian Lopez et envoie son équipe en demi-finale.Malgré cette désillusion, Jean-Michel Larqué et les siens se remobilisent pour soulever la Coupe de France. Pourtant, la légende est en marche. Vêtu d’un maillot de rechange après avoir échangé sa tenue de match avec Franz Roth, il serre les mains des personnalités et est le seul Stéphanois à venir récupérer sa médaille. Perclus de crampes, Dominique Rocheteau a demandé à sortir un peu plus tôt ? Ne manque que la locomotive pour lancer définitivement l’ASSE sur les bons rails. En revanche, ils doivent se contenter de la 5e place en championnat, leur pire classement depuis cinq ans. Même conclusion cinq minutes plus tard lorsque la barre renvoie la tête de Jacques Santini. » Ses troupes démarrent en douceur face au KB Copenhague. Si la télévision française décide de ce fait de ne pas retransmettre la deuxième manche, les Verts ne l’abordent pas fatalistes. Quand les Verts atteignent une première fois les quarts de finale de la compétition lors de la saison 1974-1975, c’est un véritable événement : il s’agit effectivement d’une première depuis le Stade de Reims… douze ans plus tôt. Son président, lui, n’en démord pas. En Yougoslavie, les Verts subissent les foudres d’Hajduk Split (4-1), concédant trois buts après la pause. Un gardien ainsi qu’un un défenseur central de qualité et expérimentés. A l’été 1975, pour la reprise de l’entraînement, il tient un discours simple. Une formation redoutable, qui vient de prendre le dessus sur l’Ajax Amsterdam au niveau national. K.-O., le géant suédois (1,91 m) finit par sortir à la pause. Garceran, Maillard (,Griffoni, Arpinon, Gauthier, Moreira, Canetti, Grasset, Le Boedec, Mazauric, Riefa, Giudicelli, Pellecuer (,Curkovic, Janvion, Lopez, Piazza, Farison, Bathenay, Santini, Larios (,Szeja, Boulard, Denis, Noel, Roque, Cuperly, Hallet, Mésonès, Bocquet, Szlyko, Truffaut,Curkovic, Janvion, Lopez, Merchadier, Farison (,Curkovic, Janvion, Lopez, Piazza, Farison, Bathenay (,Szeja, Boulard, Denis, Noel, Roque, Cuperly, Hallet (,Gili, Amouret, Polny, Trezeguet, Vitulin, Bianchi, Carrié, Poli, Bourrebou, Horlaville, Pena,Curkovic, Janvion, Lopez, Piazza, Farison, Bathenay, Santini, Larqué, Rocheteau, Revelli P., Sarramagna,Curkovic, Janvion, Lopez, Piazza, Repellini, Bathenay, Santini, Larqué, Rocheteau, Revelli P., Sarramagna,Curkovic, Janvion, Lopez, Piazza, Farison, Bathenay, Santini, Repellini, Rocheteau (,Curkovic, Merchadier, Lopez, Piazza, Farison, Bathenay, Santini, Repellini, Revelli P (,Rust, Dufour, Seles, Wassmer, Posca, Djaadaoui (,Bertrand-Demanes, Denoueix, Rio, Michel, Bossis, Muller, Tusseau, Sahnoun, Baronchelli, Pecout, Amisse,Curkovic, Merchadier, Lopez, Piazza, Farison, Janvion, Bathenay, Lacuesta, Revelli P., Revelli H, Larios,Curkovic, Merchadier, Lopez, Piazza, Farison, Janvion, Bathenay, Santini (,Bertrand-Demanes, Denoueix, Rio, Michel, Bossis, Muller (.Curkovic ©, Merchadier, Lopez, Piazza, Farison, Janvion, Bathenay, Rocheteau, Revelli P., Revelli H.Laudu, Masclaux ©, Dubouil, Durand, Buisset, Polaniok (,Filipov, Kolev, Stankov, Denev, Vasilev, Rangelov,Curkovic, Janvion, Piazza, Lopez, Farison, Synaeghel, Bathenay, Larqué, Revelli P., Rocheteau,Filipov, Kolev, Stankov, Dimitrov, Denev (,Curkovic, Janvion, Piazza, Lopez Farison, Bathenay, Synaeghel, Santini, Revelli P. , Rocheteau, Larios (,Curkovic, Janvion, Piazza, Lopez, Farison , Bathenay, Synaeghel, Santini, Rocheteau, Revelli P. (,Clemence, Hughes, Jones, Neal, Thompson, Case, Kennedy, McDermott, Toshack (,Clemence, Hughes, Jones, Neal, Smith, Case, Kennedy, Toshack (.La dernière modification de cette page a été faite le 17 avril 2020 à 01:13. Point d’orgue des prestations stéphanoises sur la scène continentale, la finale de la Coupe d’Europe des clubs champions disputée face au Bayern Munich le 12 mai 1976 à Glasgow. Le lendemain, Robert Herbin a fait une causerie en fin de matinée et son groupe s’est entraîné à Hampden Park après la sieste.Le jour J, Roger Rocher répond à Jacques Chancel sur un bout de table pour l’émission.La rencontre s’emballe à la demi-heure de jeu. Soutenus par un stade plein (la billetterie a reçu 100 000 demande de billets), les joueurs de Robert Herbin accusent toujours deux buts de retard quand Oleg Blokhine profite d’une contre-attaque pour semer ses gardes du corps et s’en aller défier Ivan Curkovic. L’ASSE, malgré trois matches de retard à disputer en première division, ne compte qu’un point de retard sur les Niçois. Comme les autres clubs français, Georges Bereta et ses coéquipiers n’ont guère brillé jusque-là sur la scène continentale. Qui viendrait saluer des perdants ? Dominique Bathenay déboule côté droit, repique dans l’axe pour se mettre sur son pied gauche et inscrire le but du break (,Avant leurs retrouvailles, les Britanniques promettent l’enfer aux Stéphanois : huit ans plus tôt, le voisin et rival du Celtic a montré la voie en étrillant (4-0) les Frenchies après s’être inclinés 2-0 à l’aller. Un moindre mal. C’est finalement en disposant de l’AS Nancy-Lorraine que le club est sacré pour la neuvième fois.Les vice-champions d’Europe abordent l’exercice 1976-1977 avec appétit. Résultats et statistiques de la saison 1975-1976 de l'AS Saint-Étienne - ASSE Stats tous sur l'AS Saint-Étienne : Foot ASSE, mercato ASSE. Leur déplacement dans le “Chaudron” commence bien mal : le gardien Peter McCloy se blesse à l’échauffement et doit déclarer forfait. L’ambiance est plombée dès le retour à Saint-Etienne : des supporters surexcités sont venus fêter le retour de l’équipe et la cohue tourne au drame quand une hélice de l’avion décapite l’un d’entre eux. Si l… Larqué, lui-même directeur sportif dans les années 90, veut y croire : «,Un avis que ne partage pas Christian Lopez : «,Difficile de le contredire. Sont considérés comme arrivées, des joueurs n’ayant pas joué avec l’équipe 1 la saison précédente.En cas d'égalité entre deux clubs, le premier critère de départage est la.522 547 spectateurs ont assisté à une rencontre au stade cette saison, soit une moyenne de 20 098 par match.7 stéphanois auront les honneurs de l’Équipe de France cette saison :Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.Statistiques individuelles de la saison 1976-1977.Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Seule la sélection la plus importante est indiquée.Rivalité avec l'Olympique lyonnais (derby),https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Saison_1976-1977_de_l%27AS_Saint-Étienne&oldid=169651655,Article avec une section vide ou incomplète,Portail:Époque contemporaine/Articles liés,Portail:Département de la Loire/Articles liés,Portail:Auvergne-Rhône-Alpes/Articles liés,licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions,comment citer les auteurs et mentionner la licence,Delachet, Coumba. C'est lui qui a qualifié Saint-Étienne pour la demi-finale de C1 1976 : épuisé, blessé à une cuisse, il a inscrit le troisième but stéphanois en prolongation contre Kiev (0-2, 3-0). «,Les Français quittent la pelouse malheureux et en pleurs, à l’image de Jacques Santini. Les Verts sont passés à côté de leur rêve. Equipe 1 Equipe 2 Féminine. Le club et les agences de voyage croulent sous les demandes… Tout le monde tient à être à Glasgow pour voir les Verts soulever la première Coupe d’Europe française. Quoiqu’il en soit, une combinaison entre les deux Franz - Beckenbauer décale le ballon à Roth - permet à ce dernier de tromper “Curko” sur sa droite. Ce travail minutieux porte une première fois ses fruits. Le club a bouclé les trois derniers championnats dans le top 5 avec à chaque fois une qualification européenne. Si, depuis,La seconde période repart sur les mêmes bases et Christian Sarramagna est le premier à créer le danger. En témoignent les festivités organisées autour du 40e anniversaire de l’épopée des Verts et la parution de multiples ouvrages à cette occasion, dont « Un Printemps 76 Â» (Vincent Duluc), qui vient de recevoir le prix Antoine Blondin.Comprendre comment, trente ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, une poignée de footballeurs sont devenus des héros nationaux exige de se replonger dans le contexte de l’époque. Sentant dans son dos le retour de Christian Lopez, le Ballon d’or en titre préfère ralentir sa course pour un ultime dribble au lieu de tenter sa chance. Il reprend de la tête le centre de Patrick Revelli, mais le ballon flirte avec le mauvaise côté du poteau allemand. Eliminés d’entrée par Manchester United en C2, les Verts sont inconstants en championnat et terminent septièmes. La qualité de l’effectif, reconduit à l’identique, l’expérience accumulée et les structures du club sont autant d’arguments en leur faveur. A l’aller, les Stéphanois assurent l’essentiel : ils ne prennent pas de but, sauvés par leur gardien et son poteau, et trouvent même l’ouverture grâce à Dominique Bathenay. Une mission dont s’acquitte Pierre Garonnaire en allant engager Ivan Curkovic, débauché des cages du Partizan Belgrade et soufflé au SC Bastia, et l’Argentin Osvaldo Piazza, à Lanus.Dans un système et une organisation influencée par le modèle hollandais, la recette porte ses fruits. «,Robert Herbin goûte peu aux longues causeries. A partir de cet instant, les versions divergent. Comme la cote d’amour de Raymond Poulidor, l’éternel second, reste supérieure à celle d’un Jacques Anquetil quintuple vainqueur du Tour de France, l’aura des Stéphanois ne s’est pas étiolée avec le temps. Un coup dur pour les Néerlandais, mais, aujourd’hui encore, Ivan Curkovic jure ne pas l’avoir fait exprès.Sans sa tour de contrôle, le PSV tente tout de même de faire plier les Verts et le gardien doit multiplier les parades. Des militaires locaux se chargent d’en débarrasser le terrain… à l’aide de réacteurs d’avion ! Il faut toutefois patienter près d’un mois jusqu’au 12 mai et la saison continue. En raison des conditions climatiques, le match aller est délocalisé à Simferopol, en Crimée. A l’occasion du 40e anniversaire de cet événement, retour sur l’épopée des Verts, de sa genèse aux turbulences que le club a commencé à traverser quelques années après.Le retour au vestiaire est difficile. Ils ne seront pas champions d’Europe. Les joueurs stéphanois, eux, ont gagné le Royaume-Uni dès le lundi après un dernier entraînement électrique. A une époque où les écrans de télévision se propagent dans les foyers hexagonaux, il n’est pas encore possible de regarder du football chaque soir ou presque. Glascow 1976. Dominique Bathenay déclare ainsi : Â«.Malgré la défaite, le retour en France est grandiose. Au-delà de la double confrontation face au Sporting Portugal (2-0, 1-1), autre vainqueur de la Coupe des coupes (1964), le tournant intervient en 8e de finale. Que dire de l’exercice 1973-1974, conclu sur un doublé coupe-championnat flamboyant (huit points d’avance sur le FC Nantes) ? « Je ne vous demande qu’une seule chose, dit-il en substance à ses hommes. Cinq minutes après le retour de Christian Lopez dans les pieds de Karl-Heinz Rummenigge, seul devant Ivan Curkovic, Gerd Müller pousse Osvaldo Piazza à la faute. Deux succès sans gros souci (,Au deuxième tour, l’ASSE se voit opposée aux Glasgow Rangers, son premier adversaire sur la scène continentale, en 1957. A défaut de remporter le trophée, ils ont gagné à jamais le cœur des Français. Un Bayern vainqueur d’une rencontre qui a fait polémique, un an plus tôt en finale de cette même C1, face à un Leeds United qui avait pour capitaine l’Ecossais Billy Bremner. 15e après onze journées, les Verts pointent à peine en milieu de tableau à la trêve.En mars, la double opposition face aux Anglais du Liverpool FC, vainqueurs de la Coupe UEFA un an auparavant, va leur permettre de s’étalonner. Chronologie Saison précédente Saison suivante modifier Cette page présente la saison 1975-1976 de l'AS Saint-Étienne . De quoi ouvrir une nouvelle ère, alors que l’ombre des anciens Verts a longtemps plané sur Geoffroy-Guichard, certains ayant même occupé des fonctions à l’intérieur du club (Robert Herbin est revenu entraîner à deux reprises, responsabilité qu’ont tour à tour exercé Christian Sarramagna, Jacques Santini, Dominique Bathenay et Pierre Répellini). Avec brio puisqu’il repousse tout (.A Eindhoven, Roger Rocher a entamé des pas de danse sur la piste de l’aéroport. Ainsi naît.A l’été 1972, Roger Rocher a un nom en tête pour le remplacer : celui de son capitaine, Robert Herbin, qui passe ses diplômes d’entraîneur. Une ère qui va voir émerger des tensions irréversibles entre Robert Herbin et Roger Rocher. Les joueurs, qui avaient prévu de fêter leur qualification, s’en vont profondément marqués par ce qu’ils viennent de vivre.La qualification en poche, le Peuple vert est en ébullition. Leaders du championnat, les Verts l’emportent à Strasbourg (2-0) avant d’accueillir le Nîmes Olympique.